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Le Poilu RONCIERE Joseph

4 décembre 2015

La Madelon - Version originale de 1917 - Marcelly

La Madelon - Version originale de 1917 - Marcelly

 

Mon Oncle: RONCIERE Joseph, Albert, Clément, mort pour la France pendant la Grande Guerre

 

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IMG 01 - (Balisson JC)

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IMG 02 - De G à D: Croix de Guerre 14/18 avec palme - Croix de Guerre 14/17 avec étoile - (Balisson JC)

 

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IMG 4 - Petite commune rurale du Sud Sarthe située au coeur de la forêt de Bercé, dite forêt de Jupilles, dont les hommes sont essentiellement des sabotiers - (Balisson JC)

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IMG 5 - 2014, jour de la cérémonie - Le monument aux morts sur la place de Jupilles - (Balisson JC)

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IMG 6 - 2014 - Jour de la cérémonie, le monument aux morts - (Balisson JC)

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IMG 7 - 2014, jour de la cérémonie - (Balisson JC)

RONCIÈRE Joseph était: Maître-Pointeur:

"Le titre de "maître pointeur" n'est pas un grade, mais une distinction".
"Les maîtres pointeurs se recrutent parmi les pointeurs, en suivant l'ordre de classement établi chaque année après les écoles à feu. ils sont au nombre de six: leur cadre est toujours tenu au complet. Ils sont nommés par le chef de corps sur les propositions hiérarchiquement transmises par les capitaines-commandants. Ces nominations sont mises à l'ordre du régiment. Inscription en est faite sur le livret matricule et le livret individuel, tableau des services et positions diverses. La cassation des maîtres pointeurs est prononcée par le chef de corps, dans les mêmes formes que celle des trompettes, bourreliers, etc. Le nombre des pointeurs varie selon les ressources du personnel ; il doit, autant que possible ne
jamais descendre en dessous de six. Par conséquent, en prévision des vacances qui pourront se produire, la liste des pointeurs, établie chaque année après les écoles à feu, doit comprendre, autant que possible, douze noms. Aucun artificier ne doit figurer sur cette liste. Les maîtres pointeurs portent, sur la manche gauche de la veste ou du dolman, une grenade en laine écarlate de 25mm de largeur sur 60mm de hauteur. Ceux qui ont obtenu, dans un concours de tir, l'un des trois premiers prix, remplacent la grenade en laine par une grenade en or de même dimension.
Les sous-officiers (à l'exception des adjudants), et les brigadiers qui ont été maîtres pointeurs conservent cet insigne. (A la différence des prix de tir de l'infanterie qui ne doivent être portés que pendant l'année qui suit l'obtention de ceux-ci).
Tout gradé doit être en état de pratiquer et d'enseigner le pointage, autant que sa vue le permet."

in Pages 14-18

Dans ce même forum, il est fait mention de l'ouvrage de Jacques Meyer, Les soldats de la Grande Guerre ...Revenons à la mise en batterie. Sur les six hommes de l'équipe "d'avant", trois sont au service de la pièce, trois s'occupent des obus. Entre les six, l'entente et la division du travail jouaient à plein. C'est d'abord le pointeur, l'intellectuel du groupe, souvent appelé maître pointeur, ce qui lui valait le galon rouge d'artilleur de première classe, et dont toute l'équipe se glorifie quand il a réussi " un coup au but " . Il manipule le collimateur de visée, la jauge, les manivelles de dérive et de hausse, suivant les indications transmises par le chef de pièce en termes techniques : " tambour 0, plateau 150 »..

Maîtres-Pointeurs des 85 ème et 285 ème d'Artillerie lourde M P F:

BOUCHERY Jean (12 09 1918) - BRUNCEL Daniel (04 04 1916) - COURTINOT Louis (05 08 1916) - CULLET Léon (05 08 1916) - GERVAIS Jean (22 05 1916) - HANTUTE Norbert (05 08 1916) - LEROUX Paul (24 10 1917)  - RAMO Alexandre (25 10 1918) - RONCIÈRE Joseph (06 05 1918) - HINALIN Prosper (05 08 1916) -

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IMG 8 - 2014, jour de la cérémonie - (Balisson JC)

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IMG 15/1 - Le casque "Adrian" M 1915, lointainement inspiré de la "Bourguignotte" du Moyen-Âge est le casque militaire équipant les troupes françaises pendant la première  guerre mondiale. Il fut conçu dans l'urgence quand des millions de soldats se trouvèrent engagés dans la guerre de tranchée et que les blessures à la tête devinrent la cause d'une proportion significative des pertes sur le champ de bataille. 77% des blessures des poilus étaient à la tête avant son adoption, le chiffre tombant à 22% en 1916. Il remplaçait une cervelière (calotte d'acier portée sous la casquette ou le képi) adoptée en Février 1915 et fut distribuée à partir de Septembre 1915 - (Balisson JC)

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IMG 15/2 - La première tenue portée par les poilus, remplacée par celle ci-dessous car trop voyante - Pantalon rouge garance, képi - (Balisson JC)

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IMG 15/3 - La tenue, pantalon "bleu horizon" et casque "Adrian" (Automne 1915) - (Balisson JC)

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IMG 15/4 - Le masque à gaz, modèle "T N H" - (Balisson JC)

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IMG 24 - (Roncière Gérard)

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IMG 25 - (Roncière Gérard)

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IMG 26 - Arbre généalogique - (Balisson JC)

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Les huit champs de bataille majeurs de la grande guerre 

1) Les tranchées de l'Artois: le plateau de N/D de Lorette, Octobre 1914/Janvier 1916, 100 000 hommes y perdirent la vie

2) Combats au sommet de l'Alsace: l'éperon du Hartmannswillerkopf, 50 000 soldats des 2 camps tués

3) Les américains libérateurs de la Meuse, 12 09 1918 (saillant de Saint Mihiel occupé depuis 1914, la plaine de la Woëvre, Thiaucourt - 26 09 1918: massif forestier de l'Argonne: 400 000 US et 100 000 français partricipent aux combats - US: 26 277 tués, 95 786 blessés.

4) Les Eparges "la colline maudite", Février/Avril 1915, guerre des mines 1916/17 - 50 000 morts des 2 camps pour une colline.

5) Verdun, un orage d'acier, 10 000 obus par jour (Beaumont, Bezonvaux, Douaumont, Louvemont, Haumont, Ornes, Vaux, Cunières) - 80% des 700 000 victimes sont tuées ou blessées par éclats d'obus.

6) Les forêts de l'argonne à bout portant, la guerre des mines - 140 000 soldats tués, 10% des pertes totales françaises.

7) Les sacrifices du chemin des Dames - Printemps 1917 - 271 000 victimes côté français, un fiasco pour l'armée française où s'illustre le sinistre Général Nivelle.

8) Les offensives de la Somme - 01 Juillet 1916, au soir de ce jour, 20 000 soldats anglais sont tués - (Cette bataille est la quintessence de la première guerre mondiale avec plus de 1 million de morts, disparus et blessés durant 5 mois de combats, marqués par une progression des assaillants de 10 Km maximum) - (Frédérick Hadley)

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IMG 27/1 - La fin de quatre année de guerre, mais il s'en prépare une autre, celle de 39/45, et puis le 13 11 2015, le Président de la République française déclare la guerre à l'E I - (BalissonJC)

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IMG 28 - Les parents de Joseph, Albert, Clément - (Balisson JC)

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IMG 29 - Soeur et beau-frère de Joseph, Albert, Clément -(Balisson JC)

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IMG 30 - Neveu, petite nièce, petits neveux de Joseph, Albert, Clément - (Balisson JC)

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IMG 31 - Neveu, petit neveu de Joseph, Albert, Clément - (Balisson JC) 

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IMG 32 - Ce jour du 11 Novembre 2014, toutes les villes et communes de France célèbrent leurs tués et disparus de la grande guerre - (Balisson JC)

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IMG 33 - Ce jour du 11 Novembre 2014, toutes les villes et communes de France célèbrent leurs tués et disparus de la grande guerre - Les pompiers et une délégation du R I M A d'Auvours sont présents - (Balisson JC)

 

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IMG 34 - Ce jour du 11 Novembre 2014, toutes les villes et communes de France célèbrent leurs tués et disparus de la grande guerre - Un ami d'enfance et d'école: ORLANDINI cite le noms des morts pour la France - L'oeil exercé du photographe a su saisir à bon escient le panneau "STOP", dont la signification est très claire: "STOP à la guerre" - (BalissonJC)

 

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IMG 35 - Ce jour du 11 Novembre 2014, toutes les villes et communes de France célèbrent leurs tués et disparus de la grande guerre - La délégation du R I M A  d'Auvours - (Balisson JC)

 

 

 

 

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